Nos mains absorbent comme racines.(Saint François d ‘Assisi)

Introduction

 

La valeur du trésor qui nous a été confié est toujours moins compris et reconnu.Il faut changer de narration ; le cœur arrive a visiter ce qui est à l ‘extérieur de lui dans le temps et l ‘espace avec un force pair à celle des étoiles. Matière et affectivité sont les deux champs d’investigation;la matière interroge le corps qui n’est plus un simple support pour des pensées ou des théories mais il a son propre langage qui modèle la matière. La matière n ‘est pas inerte..l’affectivité est une force matériel, qui fait pousser les plantes et changer la pensée. Mischiarsi, buttarsi nella mischia.

Quelle sont les voies qui emprunte l’affectivité ? Les voies d’entrée et de sortie du cœur ?

 

Déroulement :

Chaque participant crée sa propre cartographie du cœur avec le matériel à sa disposition et la pose sur papier kraft si il veut avec des mots, dessins à ajouter. En cercles (modèle disponible)

Après on compose une cartographie commune en laissant les traces de la cartographie originel bien en évidence et liant ce qui nous semble le plus porteur avec des lignes, dessins , mots objets à ajouter. Dernière étape : on commence à raconter sa propre cartographie en la liant à la cartographie commune, avec le geste de la main choisi, l ‘un après l ‘autre. On se fait un cadeau mutuellement : chacun choisit des phrases ou un dessin de la cartographie à donner à quelqu’un.

 

Jeu:   Quentin la pierre du destin..jeu oracolaire avec des cartes inventées et imaginé

Selon l ‘auteur Franco Cecla dans le livre Mente locale, notre corps agis l’espace et l ‘habite ; l ‘imaginaire construit des cartes mentales et fait d’un lieu notre habitat. L’orientation dans l ‘espace est la base sur laquelle on peut construire des associations émotives.
Les systèmes d’orientation coïncident avec le cadre linguistique ; Borges disait que il est heureuse la personne qui habite un lieu chanté par un poète ou dessiné par un cartographe.
Les poètes recuperent la conversation avec les espaces ; nous sommes notre demeure  a laquelle nous retournons .
Le recueil se transforme en accueil et on transforme le monde dans le dialogue avec les lieux.